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Dimanche 17 mai, 29ème étape, Gebhardshagen - Stüde (70, km)
Vous n'aurez pas ce soir un CR "made in Fab" car il n'a pas pu se connecter sur secteur : il n'y avait pas de prises disponibles. Et oui cela arrive !
Les conditions d'hébergement pour cette nuit sont assez spartiates : la salle est minuscule (Stéphane et Fab ont dû se dépécher à leur arrivée pour se trouver une place dans (je cite) "cette boîte à chaussure", les douches étaient froides (Roger et Alain ne sont pas douchés. Roger ne voulait pas que sa bronchite s'aggrave!)
La journée fut bonne malgré les longues lignes droites (Fab préfère quand il y a du relief) et les 19 derniers kilomètres le long du canal de l'Elbe et son chemin caillouteux. Heureusement qu'il y a un peu d'herbe au milieu pour pouvoir soulager les pieds ! Le pire c'est que la course va continuer ce chemin pendant 70 km demain...
Côté bobos, Fab compte ce soir une ampoule de plus ! (Il pense que ce sont les gravillons des 19 derniers km). Le moral est là.
Au repas (pris à 17 h 30 !) Ingo a fait un discours de rappel des règles de sécurité et a menacé de disqualifier tous ceux et toutes celles qui ne les respecteraient pas !à+Pascale
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Vendredi 22 mai, 34ème étape : Göteborg (Suède) – Sjövik (48,8km).
Après une très bonne nuit dans la cabine du ferry, après un très copieux petit déjeuner pris à bord nous avons repris le cours de notre course.
Le départ fut donné peu après 9h30 sous la pluie depuis le premier parking qui se trouve après la zone portuaire.
Göteborg, c'est très joli, mais je n'ai pas eu le temps de regarder tout ce qu'il y avait parce qu'il fallait que je sois attentif aux différents changements de direction qu'il y avait sur notre parcours. Nous courrions sur une piste cyclable, mais à chaque carrefour il fallait attendre que le piéton soit vert pour passer et à ce petit jeu là, je me suis vite retrouvé distancé par la plupart des coureurs avec qui je me trouve d'habitude. Certains de devant ne se sont pas préoccupés d'attendre ou non le passage, ils ont foncé. Je n'ai pas voulu prendre ce risque. D'arrêts aux feux en arrêts toilettes, je ne voyais plus personne devant moi et ceux de derrière ne couraient pas aussi vite que moi mais me retrouvaient néanmoins dès que je marquais une pause.
Au premier ravitaillement, km10,9 passé en 1h05' je me dis qu'il y avait un problème : soit j'étais vraiment rapide, mais avec tous les arrêts que j'avais faits j'en doutais, soit la distance indiquée était fausse. Je pensais plutôt n'avoir fait que 9 à 9,5km. Au second ravitaillement, j'ai eu la même impression, alors je me suis dit que l'étape allait peut-être être moins longue que prévue.
Nous sommes sortis de l'agglomération de Göteborg au bout d'une douzaine de km et nous avons continué notre chemin sur une piste cyclable toujours, avec une seconde averse, un peu plus forte que la première. J'avais enfilé le poncho dès le départ et ne le quittais donc pas.
C'était joli, les maisons en bois, la verdure environnante, le chant des oiseaux et l'impression que la nature en est toujours au même point depuis l'Italie. En effet, plus nous remontons vers le nord (et là, avec le ferry nous avons fait un saut de 400km vers le nord), plus on voit les plantes au même niveau de floraison, par exemple les lilas pour qui c'est flagrant. En Italie, ils commençaient à fleurir, en Allemagne on les voyait commencer à fleurir aussi et bien en Suède, leur floraison en est au même stade, au début de leur épanouissement.
D'autres arbres comme les tilleuls montraient qu'il y a un décalage dans le temps entre le nord et le sud.
La suite de l'étape fut plus difficile car les averses se sont succédées, la piste cyclable s'est transformée en chemin de terre avec des graviers, et la fatigue s'est installée progressivement.
J'ai géré ma fin d'étape sans chercher à rattraper les coureurs de devant que j'apercevais depuis quelques km. Néanmoins, j'ai repris Takako qui avait ralenti et nous avons encore une fois terminé ensemble.
La moyenne de cette étape semble trompeuse car en réalité il faudrait retirer 3km pour avoir la distance exacte, ce qui donne une moyenne plus conforme à mon ressenti et à ma valeur réelle.
L'arrivée se fit dans une sorte de village de vacances et nous sommes logés dans des bungalows, à 4 pour une superficie de 12m², avec des lits superposés. C'est plus grand que les cabines du ferry, mais cela reste très exigu surtout quand chacun arrive avec ses bagages.
Les douches et les sanitaires sont situés à 50m de là et quand on y va, c'est sous la pluie.
Ce soir le dîner ne sera pas du même niveau que celui auquel nous avons eu droit hier soir : buffet à volonté à bord du ferry, poissons, viandes, saucisses, légumes, desserts... tout à volonté. Nous en avons bien profité, tout comme les touristes qui étaient à bord pour voyager eux aussi vers la Suède et qui étaient médusés quand on leur disait ce qu'on était en train de faire.
Demain, une longue étape nous attend : 82km en espérant qu'on soit un peu mieux hébergés après près de 10h passées sur la route. J'espère que la météo sera meilleure car les averses ne sont pas pour faciliter la récupération après la course et n'aident pas à éviter les douleurs musculaires ou tendineuses.
à+Fab****
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Voici mon avant-dernier CR allemand, j'espère pouvoir en faire un autre demain à Kiel ou sur le bateau.
Tout va bien, je me suis "reposé" à ma façon aujourd'hui, c'est tellement bon pour le mental de faire une belle étape de temps en temps !
J'ai du temps aujourd'hui pour récupérer, je suis à côté d'une prise, alors : royal !
Je ne sais pas si Pascale a récupéré une connexion à la maison, j'espère que oui.
Comme je n'en suis pas certain, Emmanuel, tu peux procéder comme hier si tu veux pour envoyer le CR en ligne sur AE.
Hier, j'ai réussi à aller moi-même sur mon blog pour poster le CR, mais sans fioritures ni photos comme Pascale réussit si bien à le faire.
Je vous dis à demain j'espère.
à+Fab****Mercredi 20 mai, 32ème étape : Trittau – Bad Segeberg, 44,0km.
L'étape la plus courte, avec l'ultime au Cap Nord, devait permettre soit de se reposer en y allant tout doucement sans forcer, soit de faire comme d'habitude c'est à dire de courir à sa vitesse "normale" soir de se tester en fonçant un peu. Vous devinez l'option que j'ai rapidement choisie pendant cette étape.
D'abord, j'avais plein de trucs auxquels penser, concernant les mésaventures de ma petite famille dont je suis loin en ce moment et pour plus d'un mois encore.
Cela a commencé lundi quand Pascale a renversé un cycliste en allant travailler, je me suis imaginé ce qu'elle avait dû ressentir, mais la jeune fille renversée n'a pas été blessée. Le plus difficile fut sans doute d'aller travailler après et de contacter l'assurance, de visiter le garagiste pour l'expertise ...
Second soucis : la chaudière qui est tombée en panne et comme c'est moi qui gère ça d'habitude, je pense que Pascale a encore dû avoir beaucoup de courage et de patience pour entrer en contact avec le dépanneur qui n'était pas disponible tout de suite.
Troisième soucis : plus de connexion internet à la maison, donc plus de téléphone non plus. Pascale a "bouffé" son forfait de portable à essayer de résoudre le problème avec l'opérateur.
Quatrième chose à laquelle j'ai eu le loisir de penser : le devis proposé pour changer les gouttières à la maison, ce qui dans le budget va faire un bon trou.
Il y a d'autres points concernant la vie en France qui m'ont aussi interpellé, comme le permis de conduire que mon fils, Lorris, va bientôt passer, les résulats de ses partiels, le stage de ma fille...
Bref, j'avais de l'occupation aujourd'hui ce qui peut expliquer la suite de ce CR.
J'ai commencé tranquillement, pour m'échauffer et sentir le terrain : on est parti à 6h30 au lieu de 6h, cadeau de l'organisation, et le jour était déjà bien levé. Une belle journée ensoleillée se préparait. La route était calme, la piste cyclable bordée d'arbres et de buissons qui donnaient à cette matinée un caractère champêtre malgré le revêtement en bitume.
Les premiers kilomètres avalés à bon rythme, mais sans plus, m'avaient "ouvert l'appétit" et quand j'ai vu que je revenais sur quelques coureurs partis plus vite que moi, je me suis amusé à hausser le tempo, de les dépasser et de les laisser sur place. Je tournais soudain à plus de 10km/h et je me sentais capable de continuer ainsi des kilomètres. Au fil des postes de ravitaillement j'ai vu que derrière j'avais fait le trou, personne ne profitait de mes courts moments de pause pour refaire la jonction.
La suite fut du même tonneau, un peu moins vite quand même, ayant repris une allure moins risquée (entre 9,5 et 10km/h) mais efficace. Le parcours était varié, avec de tout petits reliefs, des villages à traverser ainsi qu'une ville moyenne (Bad Oldesloe) où la circulation m'obligea à attendre parfois aux feux tricolores que le piéton soit vert avant de passer car si on se fait prendre à "griller" un feu, on risque d'être pénalisé (avertissement) voire même "fired" exclu de la course en cas de récidive. Alors, j'ai fait celui qui respecte le code du piéton, même si c'est pénible car d'autres derrière (ou devant) ne se gênent pas à prendre des risques.
J'ai donc perdu mon bon rythme et il m'a fallu plusieurs minutes avant de retrouver la même aisance qu'avant.
L'avant-dernier ravitaillement, celui avec la soupe de la femme de Thomas, je ne l'ai pas zappé : ça me porte chance depuis le début, ne tentons pas la malchance et faisons comme d'habitude. Il ne restait plus que 16km à ce moment de la course et je ne voyais toujours personne revenir dans mes rétroviseurs, pas même les coureurs qui partent une heure après et qui immanquablement me reprennent leur retard avant la fin de l'étape.
Et bien aujourd'hui, malgré un ultime arrêt bière chez Uli lors du dernier ravitaillement-rituel lui aussi, je ne me suis pas fait croquer !
Rainer est arrivé peu de temps après moi, mais ne m'a pas repris l'heure de décalage.
Je termine à la 14ème place en 4h28' et je suis satisfait car j'ai allié le plaisir à la course, j'ai réussi mon petit test de forme et de vitesse. C'est là que je vois l'utilité de tout le travail acharné de fractionné sur route ou sur piste que je m'enfile en hiver et au début du printemps. Je possède une petite réserve de vitesse qu'il fait du bien de mettre à l'épreuve de temps à autres.
Stéphane a fait une nouvelle belle étape et finit avec Hiroko en 4h18' environ à la 10ème place. Roger et Alain ont fait aussi une belle étape, plus prudente que la mienne, mais avec autant de plaisir je pense tout comme Gérard. Christophe aussi a terminé l'étape, un peu "déboussolé" de n'avoir pas couru plus longtemps que ça (6h environ).
Demain, l'étape nous emmène à Kiel, fief du Hand-Ball européen où jouent (ou ont joué) plusieurs internationaux Français.
Nous arriverons sur le port, je pense, puis nous monterons vers 15h dans le ferry avec nos sacs spéciaux fournis par l'organisation dans lesquels nous aurons mis nos affaires de toilette et celles utilisées pour la première étape suédoise qui partira de Göteborg vendredi.
J'essaierai de transporter l'ordinateur afin de pouvoir me connecter sur le bateau, mais rien n'est moins sûr.
Bilan : tout baigne, paré pour la der des der en Allemagne.
à+fab****
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Mardi 19 mai, 31ème étape, Bienenbüttel – Trittau, 69,5km.
Retour sur la route pour cette longue étape, mais qui reste quand même dans la moyenne qui est de plus de 70km par jour.
Nous sommes partis dans le grand silence qui règne sur les villages de campagne, sur une route quasi déserte, avec de nombreux passages dans des zones boisées. Une petite brume persistait dans les champs que le soleil éclairait déjà depuis plusieurs minutes. Plus on monte vers le nord, plus il se lève tôt.
Nous avons franchi rapidement un pont sur le canal latéral de l'Elbe, notre copain de la veille le long duquel on a tourné et tourné mille pensées dans nos têtes de coureurs un peu usés par sa longueur.
Par la suite, nous avons emprunté une piste cyclable nous permettant de ne pas avoir à anticiper le passage des autos qui au fil des heures se faisaient plus nombreuses : les gens partent au travail tôt, avant 7h et doivent embaucher entre 7 et 8.
Après plus de 30km, nous avons traversé l'Elbe, le vrai fleuve, pas sa dérivation, et nous avons pu admirer le long de ce fleuve majestueux une non moins belle ville : Lauenburg. Nous avons d'ailleurs traversé une partie de cette ville par des ruelles pavées et fort pentues.
Une fois rendus sur les hauteurs, les routes se firent à nouveau plus droites et les villages plus espacés. Parfois une piste cyclable parallèle à la route nous menait tranquillement au village suivant et nous procurait un peu d'ombre bienvenue sur les coups de midi où le soleil se faisait sentir plus fortement.
Il y avait quelques nuages de beau temps, un léger vent à peine perceptible mais néanmoins rafraîchissant et à cette heure de la course, l'objectif était d'atteindre le prochain point de ravitaillement.
On en eut un "surprise" au km 50 (à Schwartzenbek) mais je ne m'y suis pas arrêté car "programmé " pour le suivant 4km plus loin et le précédent où j'avais dégusté une bonne soupe salée n'était lui aussi qu'à 4km.
C'est comme toujours à ce moment de l'étape, où j'ai assuré 6h à 9km/h que j'ai commencé à mollir un peu, mais comme je suis habitué, je n'ai pas eu à m'inquiéter, juste à recalculer mes temps de passage prévus et mon heure approximative d'arrivée.
J'étais donc reparti pour finir à 14h, soit après 8h de course.
La ville étape, Trittau, nous a réservé une belle surprise : quand je suis arrivé dans le centre ville, à 1500m de l'arrivée, on annonça mon nom, en fait ils ont annoncé celui de Gérard mais je n'oubliais pas de faire corriger l'erreur, puis deux collégiennes sont venues courir avec moi munies de petits drapeaux français. Nous avons donc couru ensemble jusqu'à l'arrivée où une grosse animation nous attendait : musique, micro, goûter, spectacle de gymnastique effectué par des enfants, mini-concert rock, chorale... La totale quoi !
Sans doute le meilleur accueil depuis Bari.
Le repas du soir fut aussi très bon, avec des boulettes de viande à la sauce piquante accompagnées de riz. Comme dessert, on a pu terminer les gâteaux proposés au goûter.
Voilà une étape comme je les aime.
Demain, 44km seulement, on a donc droit à une grasse matinée jusqu'à 4h30 au lieu de 4h.
Stéphane m'a demandé d'ajouter ce message à toutes les personnes qui veulent aller sur son site mais qui n'y parviennent pas : "Personne ne peut aller sur le site et il ne peut pas l'alimenter, il va tenter de résoudre le problème."
Les 4 autres copains du club des frenchies vont bien.
à+Fab****
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Lundi 18 mai, 30ème étape : Stüde – Bienenbüttel, 76,9km.
Le réveil de la nuit passée dans la "boîte à chaussures" taille 36 s'est bien passée, la nuit fut bonne aussi. La promiscuité avec Sigrid ne fut pas de tout repos surtout quand elle m'avait réveillé la veille dans l'après-midi pour me dire d'aller manger et je l'ai envoyée se promener car le repas n'était qu'une heure plus tard. Elle n'a pas arrêté de tousser pendant la nuit, mais elle n'est pas la seule, beaucoup de coureurs et d'accompagnateurs sont pris par de gros rhumes ou de belles bronchites.
Le départ de cette étape, où nous allions passer les 2000 km au km 15, s'est effectué progressivement, chacun mettant plusieurs minutes avant de retrouver une aisance de course "normale". Nous avons commencé par les 1200 derniers mètres de la veille, du canal de l'Elbe à la salle, mais en sens inverse, et lorsque nous avons rejoint à nouveau le canal, on savait que cela allait durer 70km !
Donc, pas de description du canal, j'ai passé plus de temps à regarder le chemin de gravillons ou de terre et le bout de mes chaussures qu'à admirer le paysage. J'ai au moins effectué une dizaine d'arrêts si ce n'est plus afin de retirer ces petits cailloux qui s'introduisaient dans les chaussures et qui risquaient de me blesser (ampoules) si je les laissais trop longtemps.
J'ai vu des péniches, des grosses (barges), dans les deux sens, transportant du minerais ou d'autres denrées industrielles. Il n'y avait qu'une écluse que nous avons dû contourner l'espace d'un kilomètre, et plusieurs petits ports avec des bateaux de plaisance. Nous avons pu aussi croiser ces derniers en promenades sur le canal avec des personnes en train de bronzer sur le pont. Il a fait beau, heureusement qu'il n'a pas fait trop chaud avec un petit vent bien agréable rarement défavorable. L'orientation du tracé du canal (vers le nord) nous a procuré un peu d'ombre grâce aux arbres le bordant.
Je suis arrivé avec Takako, la coureuse japonaise avec qui je suis au coude à coude au classement. Mais on a fait un pacte de non agression, je fais mes étapes en partant plus vite qu'elle et elle me rattrape à la fin. Nous sommes bien calés aux 19ème et 20ème places, avec les coureurs de devant à 7h et ceux de derrière avec à peu près le même retard. Aujourd'hui, le duo suédois a souffert, surtout Andréas que Mattias a attendu toute l'étape en raison d'une blessure à une jambe. Espérons pour lui que demain tout rentrera dans l'ordre et que j'aurai le plaisir de courir avec eux.
Je suis en pleine forme, le physique va bien, pas de douleurs sauf une ampoule difficile à soigner quand il y a des cailloux toute la journée mais qui devrait cicatriser dans les prochaines 48h. Le moral est bon, même si aujourd'hui je me suis demandé quel plaisir on pouvait trouver à courir le long d'un canal pendant des km et des km. Vivement mon bon vieux bitume !
Demain, étape de 69,5km "seulement" où j'espère continuer sur ma lancée avec une vitesse de course assez agréable.
Hier soir, un vendeur de glaces est venu devant la salle (la boîte à chaussure taille 36) et j'en avais profité pour me faire un petit plaisir : une glace à 4 boules (2,40€)! Ce soir, le restaurant d'à côté en vendait aussi au même prix : je n'en ai pris que trois, mais c'était tellement bon !
Le must serait d'avoir des crêpes, mais là, il ne faut pas trop rêver. A la place on a de la goulash que je commence à ne plus supporter, heureusement qu'après ma course je suis allé dans le camion de Nicole et Gérard me restaurer avec nos aliments personnels que Nicole s'occupe d'acheter avant qu'on ne soit arrivés.
à+Fab****
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